Bien que l’œil fonctionne avant tout avec le détail, le cerveau ne manque jamais de créer entre eux des liens, des frontières. Ces frontières suffisent à elles seules à prouver l’influence que chaque détail a sur les autres au sein du format. Réduites à une échelle qui force les détails à entrer en contact, les images deviennent des espaces de porosité entre des valeurs qui communiquent, se répondent.